L'hérésie d'Horus : Partie en ligne

Je retiens mon frère par l'épaule et je lui dit :

"pas de combat rapproché avant d'avoir détruit ces navires"

Je me tourne vers Aloysius :

"Ralentit-les avec ton bolter, vise leurs coeurs"

"Toi, le Tonerre, tu nous envoie ces navires par le fond avec ton fuseur, et tu nettoies les survivant de la même manière que la dernière fois. S'ils s'approchent, chargez-les et visez les coeurs.

Je dégaine alors mon pistolet à plasma.

"Tonerre, à toi le premier feu"

J'exécute les ordres de mon capitaine et fait feu de mon fuseur.

"Il n'y a qu'un seul sort réservé aux songeurs hérétiques de l'Empire, et nous sommes leur pire cauchemar."

Je tire alors avec mon pistolet à Plasma, en visant leurs coeurs.

Je fais feu en visant particulièrement les xenos qui pourraient chercher à s'enfuir.

Le fuseur du Tonnerre crache une rayon doré qui explose en touchant l'un des navires. L'équipage du bâtiment saute à l'eau mais certains semble ne pas supporter sa trop haute température et se noie en hurlant.

Comme un signal, la Foudre et la Pluie font feu de concert. Le tir bleuté du pistolet à plasma atteint l'une des créatures armées au ventre qui s'écroule dans une hurlement strident alors que les bolts du frère Aloysius explose sur l'abdomen d'une seconde, l'envoyant ainsi valsé dans l'eau bouillonnante.

Rapidement, les abominations survivantes montent vers l'Unité Tempête. Même celles des navires, les plus petites et plus faibles, descendent de leur navires en braillant une langue terrifiante.

+++

Le frère Ludwik sort de la cité. Les bruits d'une fusillade provenant de la plage viennent à ses oreilles.

je vais voir ce qui se passe. JE rejoins mes compagnons, et un peu en recul je m'installe avec mon sniper pour tirer.

Je dégaine mon épée energétique.

"Feu à volonté !!

Dès qu'ils se rapprochent, jetez vos grenades, Tonerre, tu chargeras avec moi, la Pluie, tu dégommes ceux qui cherchent à nous prendre à revers !!"

Comme je l'ai donc dis, je continue de tirer jusqu'à ce que les ennemis soient trop près. Je lance alors une grenade et je charge suite à la déflagration pour profiter de l'état de choc de mes ennemis.

Je cherche surtout à maintenir une position défensive en tenant à distance mes ennemis avec mon épée énergétique pour les empêcher de passer vers Aloysius.

Je fais feu une seconde fois, puis pose mon arme au sol pour me saisir de mon épée tronçonneuse.

"L'imperium vaincra face à vous, vils créatures hérétiques!!!."

Ludwik grimpe sur un léger surplomb. Il s'allonge et rive son regard dans la lunette de son fusil braqué sur la scène de bataille. L'arme crache le feu dans un bruit sourd et éclate le ventre de l'une des abominations.

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Les tirs du reste de l'Unité Tempête fusent vers la horde qui montent sur la plage. Rapidement, le Tonnerre et la Foudre jettent leurs grenades qui explosent brutalement au niveau des monstres, envoyant ainsi voler sable, eau et morceaux de chairs.

Lorsqu'une douzaine de monstres arrivent au contact, Chelliel tranche dans la vif et sectionne le ventre de deux d'entre eux. Frère Justilus hurlent un cri de rage et se lance dans la mêlée aux côtés de son Capitaine. Son épée tronçonneuse vibre comme jamais et lance un hurlement strident.

J'attaque FRENETIQUEMENT ses xénos tant que j'en vois en vie faisant feu d'une main avec mon pistolet bolter et en taillant dans la chère avec mon épée.

De mon côté je fais de mon mieux pour protéger le dos de Tonnerre, ce dernier étant frenetique, j'ai peur qu'il ne néglige sa défense.
J'utilise le moins possible mon pistolet à plasma, pour limiter le risque de surchauffe.

Le Tonnerre entaille, tranche, décapite les xénos qui osent se ruer sur lui. Dans son dos, Chelliel achève les abominations hors de combat.
De son fusil puissant, Ludwik détruit les ventres des créatures les plus éloignées.

Bientôt, il n'y a plus que le silence. Seul le bruit des vagues et de l'épée tronçonneuse du frère Justilus trouble la quiétude du lieu.
En face, les humains dont le corps n'est que hybridation pleurent et se serrent les uns contre les autres...

Je rejoins mes frères.

Je regarde les hybrides apeurés et je rengaine mes armes.
Je me tourne alors vers Aloysius.

"La Pluie, je ne sais pas si vous pouvez quelquechose pour eux, mais voyez ce qu'ils peuvent nous apprendre".

Tout bas je lui indique ensuite :

"Et si ces pauvres créatures sont condamnées, offrez leur le pardon de l'empereur". (ce qui signifie une mort rapide).

Ma soif frénétique me dicte de continuer le combat sur ces etres qui ne devraient pas exister mais j'ai j'ai une brève hésitation suite aux paroles de mon frère capitaine. Mon regard est noir mon bras est près à rendre la justice au nom de l'Empereur.

Je pose le bras sur l'épaule de Tonnerre, l'incitant au calme.

"Ceux-ci ne représentent pas un danger immédiat. Nous devons les interroger pour en savoir plus sur les responsables de leurs mutations, et savoir si la corruption s'est généralisée. Aloysius se montrera meilleur que nous pour les questionner"

Je me dirige vers les créatures et fait tout mon possible pour les sauver.

Monstrueux, défiguré, les restes d'humains se serrent les uns contre les autres à l'approche de la Pluie. Poussant des cris rauque et gémissant dans une langue archaïque, ces abominations autrefois humaines semblent être des expériences ratées... Mais l'un d'eux s'approche du frère Apothicaire et tend une main verdâtre pour la poser sur son plastron impressionnant. Elle murmure un unique mot : dieu...

Ils nous prennent pour des dieux, ils sont le fruit d'expérience immorale, leur code génétique est un reliquat du génome humain, forcément ils voient en nous la perfection.
D'ailleurs, ils ne se sont pas trompés en s'adressant à moi en premier !

"Mon frère, faites attention à ne pas proférer telles paroles devant notre chapelain. Soupçonneux, il serait enclin à y voir plus de fierté personelle que d'humour, ce qui risquerait d'engendrer un terrain favorable au décès prématuré, et je ne veux pas vous perdre".

Je me tourne vers les hybrides.

"Essayez de savoir si elles peuvent nous en dire plus sur ce qui leur est arrivé.
Et une fois ceci terminé, ou si elles ne sont guères informées...faites le necessaire pour ces pauvres créatures"

Les choses scandent ces mots dans des murmures : "Dieu ! Dieu ! Dieu !" Elles ne parlent pas, à peine regardent-elle les frères de l'unité Tempête.

Il faut les tuer!
Je point mon arme sur la tête d'une de ces créatures!

Ohoh, à moins que nous soyons sous la menace d'une autre entité xenos qu'ils prennent pour leur dieu !

"Même si cela est vrai, ce sont des hérétiques, ils doivent mourir."

Exact...

Nous devons en savoir plus et nous infiltrer dans cette cité.
Avant d'ordonner un exterminatus, nous devons récolter le plus possible d'information sur cet ennemi.
Je suis désormais convaincu que cette planête se montre impropre à être colonisée, mais si celà résulte d'une influence xenos, nous devons nous assurer de sa nature même, et de ses capacités à se déplacer sur d'autres planêtes.

Je me tourne vers mes camarades :

"Vous avez raison Ludwik, il faut exécuter ces malheureux, le frère Aloysius se chargera comme il le doit de leur apporter la pitié de l'empereur, mais vous, vous devez désormais nous faire rentrer dans la cité, et nous guider là ou nous en découvrirons plus"

Je contemple alors les murs blancs de la ville avec suspicion.

"Avec le maximum de sécurité possible, je ne sais pas si nous pourrons attendre le renforts rapide de troupes d'assaut si nous nous enfonçons sous terre"

Aloysius met fin aux jours des abominations humaines. Son bolter crache le feu et enlève la vie des malheureux.

Ludwik conduit ses frères vers la cité et leur fait passer les murs de la ville pour revenir au carrefour qu'il à déjà pu observer.