Le récit

Bobby Craft
Aujourd'hui j'ai eu l'occasion de parler un peu avec Bobby Craft. Un ami intime de John Mc Houston, et de Ronald Van Digan, vous savez l'homme mystérieux aux lunettes rétro qui se promenent toujours avec un petit chien différent.
Mais qui était donc ce Ronald Van Digan ? Toujours seul, une barbe de trois jours, ils rodent souvent aux alentours de la gare, en compagnie de son ami le colosse, certainement d'origine dalmate. Il est taillé dans le roc ce Peter Rabof.
Après avoir fait quelques recherches sur Internet, je découvris la véritable identité de Peter Rabof: Il était né au sein d'une famille nombreuse au milieu des hautes montagnes caucases. Sa famille fut déciimée lorsqu'il n'avait que 8 ans... Il était seul dans le froid et le vent giflait violemment son visage lorsqu'un homme vint le secourir. Cet homme se nommait Kurt Michigan: il avait fait parti du Fbi, mais il dût quitter son poste pour une histoire mysterieuse de poupées russes et de commerce sous terrain de viagra...
Kurt aida Peter et l'éduqua , il le forma à tous les arts. Mais Peter fut surtout doué pour l'art de la "Bagarre"!!

L'art de la Bagarre n'est pas seulement un mode de vie, c'est une philosophie qui se transmettait de père en fils et surtout de frere en frere. C'est d'ailleurs pour cela que Peter Rabof s'était rapproché de Ronald Van Digan.
Ron était l'instructeur SNCF de l'art de la bagarre. En effet, sous son couvert civil, d'homme désemparé aux chômage, il était chargé d'assurer la sécurité aux alentours de la gare de Vernon.

Voici le récit écrit par KoraxYuggoth, je ne souhaite pas donner de nom, mais je l'ai relu et c'était vraiment rigolo lol!

Pourquoi pas une suite sur ce forum???

Ouai bonne idée, on pourrait poster des messages décrivant des hommes, des femmes que l'on rencontre dans la rue, ou que l'on connaît.

La grenouille. C'est son nom de code. Faites attention car vous ne savez peut être qu'elle vous observe mais elle est toujours là au coin d'une rue. son regard perçant sous ses lunettes.
Est un agent du FBI? du KGB? Non! C'est un membre de sa propre organisation...
Attention, il est peut être derrière vous en ce moment...

Lol ! La grenouille! tu as oublié de parler de sa femme : c'est elle qui tire les ficelles. Elle manipule la Grenouille comme elle l'entend. Attention danger !

Bon soyons plus sérieux.
Pour le récit, je vous propose que chaque personne qui le souhaite, continue en écrivant un paragraphe afin de continuer l'histoire.
Je commence Smile

Souvenirs d'un inconnu

Il pleuvait en ce lundi matin dans le quartier de Farnborough près de Londres, lorsque Henri Peniton sorti de sa maison pour chercher son journal. La rue était encore calme et les premiers rayons du soleil apparaissaient.
Tout se passait comme tous les lundis matins: Oskin, le vieil Irlandais rentrait du pub en titubant sur le trottoir, tandis que Mme Redwood sortait en jogging pour promener son chien. Henri regardait cette scène avec toujours le même plaisir, car il avait l'impression que c'était Mme Redwood qui était promené par son chien.
Malgré cette banalité déconcertante, Henri avait l'étrange sentiment qu'il manquait quelque chose à cette fresque, mais il n'aurait su dire quoi.
Après quelques secondes, il rentra chez lui et prépara avec sa femme le déjeuner de ces enfants. Il partit ensuite au travail, cependant il gardait en tête la scène de ce matin.
La journée se passa sans encombre, mais lorsqu'il revient chez lui, en tournant la tête vers la maison d'à côté, il trouva la pièce manquante au puzzle: Son étrange voisin qui était là depuis 6 mois, et qui avait certaines habitudes qui frolaient l'obsession, se trouvait toujours au même endroit au même moment. Tous les lundis matins, il venait voir Henri pour lui dire bonjour à 07h04 précisément. Et ce matin, Brad Ledin dérogea à sa règle pour la première fois depuis son arrivé.
Après avoir déposé ses enfants chez lui, Henri, même s'il n'appréciait guère Brad pour son attitude plus qu'étrange, pris l'initiative d'aller voir ce dernier. Lorsqu'en Henri arriva devant la porte, une odeur pestinentielle s'échappait de la maison...

(A vous Very Happy

)

Je vous propose de choisir la suite de l'histoire, à vous de faire votre choix :

- A : l'odeur à l'intérieur de la maison provient d'un trou spatio temporel du chaos créé par Nurgle lui même, vortex menant tout droit dans les désolations du chaos.

- B : Brad est mort, tué par James Bond 007, en effet Brad faisait parti de la Green Enterprise et par la même occasion il a tenté de tuer M dans son bain.

- C : Brad a pété ! Smile

Ce sacré type a enfin décidement de vivre pleinement sa vie cheers

- D : Brad regarde hébété deux cadavres situés à quelques pas de l'entrée.

Je pense que la D peut être bien ( fait être un peu sérieux quand même Very Happy

).
Maintenant il faut que tu construises un peu Wink

Henri s'engouffre à l'intérieur de la maison en criant : Brad !? Qu'avez vous fait ?
Brad ne semble pas entendre, il reste bouche bée devant les deux cadavres.
Henri ne sait pas quoi faire :
A : Il appelle la police
B : Il secoue Brad
C : Brad ne sait pas quoi faire. Il voudrait rentrer chez lui.

B: Il secoue Brad.

Lorsqu'Henri secoua Brad il se rendit compte que ce dernier était maculé d'une substance gluante. Henri était d'autant plus horrifié que lorsque Brad se tourna vers lui, il aperçu que ses globes oculaires étaient manquant, du sang coulé de ces orifices...

Mais pourtant Brad était toujours vivant. Tout du moins, son cœur battait encore. Des gerbes de sang jaillissaient régulièrement de ses blessures au rythme de son pouls. Après un instant de surprise, Henri surprit quelques mots prononcés par son voisin mort vivant.
- " Arthy'a fthagn cthukhu katep"
L'effroi se fit plus intense lorsqu'il découvrit que les deux cadavres étaient inscrits à l'intérieur d'un pentacle...

Henri, effrayé, sorti mécaniquement de cette maison. Il arriva chez lui essoufflé, les yeux dans le vide...
Sa femme l'attendait à la maison. Ce contraste si flagrant entre sa maison, où il pensait que rien ne pouvait se passer, et celle de son voisin où il vit l'incarnation de l'horreur, lui glaça le sang.
Il ne dit pas un mot de la soirée, et malgré les questions que lui posait sa femme sur son étrange attitude, il resta dans un mutisme étouffant pour sa famille.
Arthy'a fthagn cthukhu katep..., cette phrase lui revenu en tête toute la nuit, il n'arriva pas à dormir, et il lui semblait sentir de plus en plus cette odeur de putréfaction...

Des sirènes de police se mirent à retentir tout autour de la rue. La police avait été tenue informée de la situation. Les camionnettes avaient encerclé le quartier, dégorgeant des bobbies dans les environs.
On frappa à la porte.
Pourquoi n'avait-il pas prévenu lui-même les forces de l'ordre.

Il était maintenant le suspect N°1.

On frappa à sa porte. Henri ne savait pas quoi faire. Il décida de descendre et d'ouvrir. Deux inspecteurs étaient sur le seuil de la porte.
-Bonjour Monsieur, Inspecteurs O'Connor et Denson. Nous souhaiterions vous poser quelques questions.
-Bien sur, dit Henri la voix tremblante. Entrez.
-Nous avons reçu des appels aux sujets de votre voisin. Il aurait disparu.

Henri se demandait qui avait pu appeler, mais aussi comment ces policiers n'avaient pas encore découvert la scène macabre qui se jouait dans la maison d'à côté.
Au moment où les inspecteurs s'apprêter à entrer dans la maison, un des agents de police qui patrouillait se mit à crier: "Venez voir!! Du sang ici!"